C'est avec les pupilles dilatées et les mains danseuses que je me prête au jeu du combat contre la douleur. Et déjà je puis comprendre un peu mieux la toxique de Sagan.
Il n'y à pas de vie sans amour.
Cette voix résonne, résonne, résonne dans ma tête.
Et cogne, cogne, cogne à l'intérieur, au rythme de mes battements de coeur et à chaque expiration.
"Et moi j'ai pas la tête à ça
J'entends là le trépas
De belle rhétorique
C'est un maudit mot d'éclat
Que ce maudit mot-là
Silhouette pathétique
S'il y a les aléas
C'est un vers indigeste
Mais s'il y a là le geste
C'est un bout de toi
Qui s'en va..."
J'entends là le trépas
De belle rhétorique
C'est un maudit mot d'éclat
Que ce maudit mot-là
Silhouette pathétique
S'il y a les aléas
C'est un vers indigeste
Mais s'il y a là le geste
C'est un bout de toi
Qui s'en va..."
Et moi j'aimerais tant qu'elle me revienne et moi, et moi je l'aime...